L’été revient, et avec lui la chaleur. On le sait, c’est propice à faire monter la tension. A dégainer à la moindre incartade. C’est sûr, la carte de France est trop petite pour nos deux spectacles de rue…
Nous avons besoin de témoins pour ces duels endiablés. Saurez-vous relever le défi ? Suivez-nous sur les réseaux sociaux (FB, Insta) et sur les routes !
Les plus perspicaces d’entre vous auront repéré que des confrontations musclées de nos deux spectacles de rue auront lieu dans le nord, à Méaulte, et dans l’ouest, sur l’Île de Ré… sans oublier le Festival d’Aurillac…
Vous avez déjà vu nos spectacles ? Si c’est le cas, (déjà, bravo !) vous vous êtes sans doute rendus compte que nous faisons la part belle à l’interactivité…
Nous convions parfois le public à monter sur scène, à participer, nous jouons au milieu des spectateurs… Bref, autant vous dire que les mesures Covid nous ont fait trembler des genoux.
Pas que nous, hein. Toute la profession, tout l’univers de la culture s’est pris une sacrée claque, cet été.
Les festivals ont été annulés. Les organisateurs, municipalités et associations ont eu de grandes difficultés à maintenir les événements. Ne serait-ce qu’à cause des mesures à prévoir pour l’accueil du public…
Alors… alors… que fait-on ?
On imagine, on réinvente, on chevauche le tigre, quoi.
Et on s’amuse à créer un spectacle que l’on peut jouer devant des façades d’immeubles, devant des maisons, devant des gens qui pourraient même être distanciés, masqués. Mais surtout devant des gens avides de culture et de spectacle !
Le Baron de Bayanne nous a offert un lieu exceptionnel pour travailler cette nouvelle forme. Et nous a même permis de le tester en sortie de résidence.
En reprenant la scénographie de Descendre de Jeanne et son Tribunal Itinérant des Affaires Historiques Sensibles et Controversées, ce sont d’autres dossiers qui s’offrent à nous… et donc à vous !
L’affaire Alexandre Dumas,
L’affaire Jeanne d’Arc (évidemment)
L’affaire Marie Curie.
Trois « pastilles » qui adoucissent la voix et la voie vers un retour au spectacle vivant. Trois pastilles d’une quinzaine de minutes chacune pour apprécier l’humour, le rythme, les combats d’épée qui font de ces épisodes un moment léger et tout public. Trois pastilles à engloutir les unes à la suite des autres, ou bien à dose plus homéopathique, à savourer à plusieurs jours de distance. Selon votre choix !
Les plus perspicaces d’entre vous auront peut-être remarqué une certaine ressemblance avec ces thématiques et celles de nos créations originelles et originales. C’est normal.
A circonstances exceptionnelles, mesures exceptionnelles. Et connaissant notre sujet, cela nous amuse également de le redécouvrir d’une manière un peu différente !
Nous espérons pouvoir présenter ces trois épisodes dès le mois de septembre 2020.
Cela pourrait être une blague de mauvais goût mais derrière cette belle ironie, il y a de l’amertume et beaucoup d’inquiétudes. D’autant que les premières représentions publiques de notre spectacle de rue sont prévues pour juin.
Après le succès de notre spectacle Un pour tous, Moi d’abord ! (Coup de cœur du festival international de rue d’Aurillac 2017), nous nous attaquons pour notre 2ème création de rue à un sujet plus brûlant : Jeanne d’Arc. (Quand on vous dit qu’on essaye d’en rire)
En pleine création de Descendre de Jeanne, nous avons eu le malheur de découvrir notre camion calciné des suites d’un feu de poubelles malveillant. Un sacré coup pour notre Compagnie puisque ce même camion qui servait pour la tournée était également notre décor !
En effet, pour ce spectacle, nous avons imaginé un Tribunal Itinérant des Affaires Sensibles et Controversé dans un grand procès où cette fois-ci c’est Jeanne d’Arc qui porte plainte contre celles et ceux qui récupèrent son image. Notre scénographie est ainsi basée sur ce camion, qui est à la fois le tribunal itinérant et le château fort dans lequel nous rejouons le siège Orléans.
Aujourd’hui nous avons un besoin urgent de racheter un camion et notre trésorerie ne nous permet pas une telle dépense. Exceptionnellement nous faisons un appel aux dons pour racheter un véhicule afin de pouvoir assurer les dates prévues et proposer aux publics ce spectacle qui nous tient tant à cœur.
Nous ne sommes pas Notre-Dame, et vous n’êtes sans doute pas la famille Arnaud ou Pinault, mais nous avons besoin de vous ! N’hésitez pas à donner, même un petit peu, ainsi qu’à partager cette information.
Les premières (et avant-premières) arrivent à grands pas pour notre nouveau spectacle « Descendre de Jeanne« . Les résidences de création s’enchainent. Que ce soit à Meximieux, Grigny ou Grenoble, nous travaillons d’arrache-pied et mettons tout en œuvre afin d’être fin prêts. Il y a encore beaucoup de travail que ce soit pour les costumes, accessoires, jeu ou encore le décor (nous reviendrons sur le sujet très vite).
En attendant nous vous proposons deux petites vidéos l’annonce du titre :
L’été va être chaud et pour plusieurs raisons. En pleine création de notre spectacle « Descendre de Jeanne« , on n’oublie pas pour autant notre pièce phare « Un pour tous, moi d’abord ! » (Coup de cœur festival Aurillac 2017). Et pour répondre à la demande toujours plus croissante, nous doublons les rôles en commençant par ceux de Lucas Bernardi (Athos, Duc de Buckingham, Professeur Foliet, etc.). Le passage de relais s’est fait studieusement et dans la bonne humeur. Nous avons ainsi le plaisir d’accueillir Thibaut Deloche.
Retrouvez toutes les dates de l’été dans notre AGENDA
Quand l’équipe de la Cie Colegram aiguise ses crayons et se lance dans l’écriture du prochain spectacle… aïe.
Après le succès du spectacle Un pour tous, Moi d’abord !(coup de cœur Festival International de Théâtre de Rue d’Aurillac 2017), l’équipe de la Cie Colegram est en écriture du prochain spectacle.
Après l’univers de Dumas et les Trois Mousquetaires, l’Histoire avec un grand H va être de nouveau revisitée. Cette fois-ci l’univers sera médiéval, les combats d’épée épiques et le sujet brûlant.